Initiatives aradoises de créer des musées (jusqu’a 1881). Collectionneurs, collections, donateurs, chercheurs, expositions
Autor: Dan Demşea
L’auteur essaye une histoire locale des commencement du collection des pièces d’une certaine valeur culturelle. Par exemple, les églises des villes Lipova et Vinga, ont gardé les drapeau de corps des métiers jusqu’a nos jours.
En 1847, à Arad, prit naissance la première collection des plantes (herbier), nommé prétentieusement musée, au gymnase. Après une période de discontinuité, l’érudit Fábián Gábor organisa pour ses élèves un petite “musée philologique”.
La découverte, en 1862, d’un impressionnant trésor des monnaies républicaines romaines à Bârsa, dans la dépression du rivière Crişul Alb, a stimulé la reprise, dans la même année, des fouilles à l’abbaye de Pâncota (dans le vignoble d’Arad). Les pièces archéologiques ont été porté au Musée National Hongroise, Pest.
Les débats autour de la constitution d’une collection muséale se déroulaient dans les séances de l’Association Nationale Aradoise pour la Culture et la Conversation du Peuple Roumain, pendant l’année 1865 et ont eté succédé par des donation des monnaies “antiques” d’argent, tableaux et lytographies. En 1866, dans une séance de l’Association, le juriste Mihai Besanu souleva l’urgence de sauver le moeurs des ancêtres. En 1869, les femmes membres ont organisé une première exposition temporaire.
Les professeurs des lycées d’Arad et Lipova “ont constitué, au recommandation du Ministère de Cultes et Instruction, des collections d’antiquités, médailles et reliques de la révolution de 1848”.
En 1882, le professeur Márki Sándor – le futur membre de l’Académie Hongroise – a crée le premier inventaire scientifique de collection de la Société littéraire et de conversation Kölcsey (d’expression magyare) a Arad. Dans la décennie suivante, cette société a créé les bases pour l’inauguration de la première exposition permanente d’histoire locale, dans le théâtre de la ville, en octobre 1892.