Relaţiile diplomatice România – Vatican (1940 – 1944). Problema evreiască

Les relations diplomatiques Roumanie – Vatican (1940-1944). Le problème hébraïque

 Autor: Adela Herban

Le relations diplomatiques de la Roumanie avec Vatican ont englobé dans leur diversité le problème hébraïque aussi.

L’assistance des Juifs a été une préoccupation de Vatican, promptement et ininterrompu, vis à vis de premières lois avec un caractère antisoviétique, de 22 juin 1941; en même temps, les interventions ont été ouverts intensives dans les relations avec les plus hautes facteurs de décision qui dirigeaient l’État, en obtenant pas seulement une collaboration, mais une vraie complicité dans le détour, ou dans l’annihilation des autorités nazis, qui organisaient l’extermination des Juifs, et tout, remarquablement, ont été réalisés dans l’esprit de l’humanité et de l’Eglise et pas sous la pression du front militaire, c’est à dire, dans les conditions des luttes de l’armée roumaine, jusqu’à la victoire de décembre 1942.

La guerre se déroulait pas seulement avec les espoirs des nazis, mais même dans leur malgré. Les mouvements de troupes entrelacés avec des déplacements démographiques, en même temps avec les opérations aériens derrière des lignes du front, constituaient des suffisants facteurs du stress, dans les circonstances desquels les mesures de déportation des Juifs affectaient même les classes sociales isolées, du point de vue géographique. Dans cette atmosphère, le Nonce a intensifié l’activité et il a intervenu, au Gouvernement roumain, avec constance.

Les dirigeants de la Roumanie l’on assuré qu’ils n’avaient pas l’intention de s’écarter des principes religieux chrétiens, ou de respect du droit divin et de prévoyances du Concordat.

Les documents que nous les avons examiné mettent en évidence une intense collaboration entre Vatican, le Nonce à Bucarest et les dirigeants des communautés internationales des Juifs. Les actions se déroulaient conformément aux plans fixés dans une collaboration avec le Grand Rabin Alexandru Şafran de Bucarest, avec W. Fildermann et les autres.

La sélection des documents examinés a été réalisée dans une relation avec les aspects diplomatiques les plus signifiants, comme un « pont » entre le Nonce de Bucarest, après le mois juin 1941, avec le but d’évoquer des moments de l’action pour défense de la population des Juifs, catholique et non catholique de la Roumanie, de Bessarabie, de Bucovine et de Transnistrie. Les résultats favorables de la diplomatie ont été confirmé par des milles de personnes sauvés pendant les pressions et aussi les déportations dans les camps nazis d’extermination.